Les bâtiments avec plus de 40 % de notre énergie consommée ont un potentiel important de mesures d’économie d’énergie et de réduction des nos émissions CO2. Sur la base des articles 15 et suivants de la Loi sur l’énergie, les cantons peuvent bénéficier des montants mis à disposition pour autant qu’ils prévoient des dépenses correspondantes au moins au même montant. Il est en effet, précisé à l’article 15 al. 2 de la loi précitée, je cite : « des montants globaux sont accordés aux cantons qui ont mis sur pied leurs propres programmes d’encouragement des mesures favorisant l’utilisation économe et rationnelle de l’énergie ainsi que le recours aux agents renouvelables et la récupération des rejets de chaleur ». Ce sont par conséquent les cantons qui doivent faire le premier pas s’ils désirent, par rapport aux moyens alloués à cet effet, toucher le montant équivalent de la Confédération. Au vu de ce qui précède, je pose les questions suivantes au Conseil d’Etat :<o:p></o:p>
- Comment apprécie-t-il cette situation ?<o:p></o:p>
- Entend-il, au cours de cette année, mettre l’accent sur l’assainissement des bâtiments et si oui de quelle manière ?<o:p></o:p>
- Quels sont les moyens, le programme de mesures qu’il entend prendre ainsi que dans quel délai ?
<o:p></o:p>Avec mes meilleures salutations.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Charmey, le 5 février 2009<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Jean-Pierre Thürler, député<o:p></o:p>